Voilà le récit vrai authentique et totalement impartial de notre dernière aventure, tel que je l’ai vécu moi Hagär Dunord.
Les Khalers ayant disparu du quartier, de même que notre soi-disant chef connu sous le nom de Le Dresseur, j’ai décidé d’organisé un brainstorming, avec les membres restant de notre gang. Chez les Stovengers, un brainstorming, se déroule de la façon suivante, chacun amène une idée, et celui qui frappe le plus fort l’emporte. Mais il semble que dans ces lieux « civilisé », il faille convaincre les autres non pas avec ses poings, mais avec des arguments verbaux, les insultes étant interdites. Bien que partant avec un handicap certain, je parvins à convaincre les autres membres présent à savoir Pavot Bleu, et l’Orthogonale concave (ou vexe je ne sais plus), de terminer l’exploration d’une ancienne boulangerie, situé dans un autre quartier.
Afin de ne pas les décourager, je ne leur parlais pas immédiatement de la créature que nous avions combattu avec moult difficultés dans le souterrain, avant d’entrer dans la dite boulangerie.
Pour compliquer les choses, nous étions au début d’une de ces fêtes stupides qu’adore les citadins, il semble que pendant plusieurs jours, les gamelles vont cacher dans les différents quartier de Béjofa, des cuissots de porcs, et le but une foi ceux-ci trouver, est de les ramener dans son quartier pour la plus grande gloire de celui-ci. Les règles proscrivant l’usage d’arme (n’importe quoi), cela peut faire penser a un vieux jeu la Soule.
Avantage de cette fête, les gamelles se font discrètes, inconvénient, n’importe quel imbécile est susceptible de hurler au loup (ou plus tôt au cochon), dès qu’il voit quelqu’un transporter quelques chose pouvant cacher un cuissot de porc (par exemple, quelqu’un qui porterai un fagot de bois sur l’épaule, amenant tous les idiots du coin a se ruer sur place pour s’emparer du cuissot de porc que celui-ci existe ou pas. Pour palier a cette inconvénient, et les 2 autres membres de la bande semblant trembler de peur (l’une a l’idée de perdre son chapeau l’autre de ne plus être convexe (ou cave) à cause d’une bagarre), je décidais de louer une charrette a bras, et un gamin pour tirer ladite charrette.
Bref le déplacement ne causa aucun soucis, et nous retrouvâmes sans problème, l’ancienne boulangerie. Afin de rassurer la chatte, et l’orthogonale, je proposais de visiter rapidement les étages de la boulangerie, afin de les rassurer sur une possible attaque surprise, visite qui se révéla être une précaution inutile, la baraque étant vide.
Nous nous enfonçâmes alors dans ce boyau que nous avions repéré lors de notre première visite, et nous avons trouvé un puit très profond, avec une échelle en fer permettant de descendre, ainsi qu’un levier caché dans l’un des murs, je ne sais plus qui de la chatte ou du convexe (ou cave) a alors décidé que ce serait une bonne idée d’actionner le levier, alors qu’il était évident qu’il s’agissait d’un piège, mais badaboum, une grille s’est alors abattu derrière nous, nous coupant toutes possibilité de retour. Après moult lamentation et pleurnicherie, la chatte et le concave (ou vexe), finirent par admettre que le retour étant impossible, nous n’avions d’autre possibilité que d’avancer, c’est-à-dire, s’enfoncer sous Béjofa. C’est à ce moment-là, qu’ils m’avouèrent tous les deux, qu’ils n’avaient pas pensé a prendre des torches, alors que je leur avait bien dis que nous allions nous enfoncer sous terre, je ne suis vraiment pas aidé, devant leur désarroi, je fabriquais quelques torches, avec le bric à brac qui traînait au sol, encore une preuve de la supériorité intellectuelle des Stovengers.
Pour faire court (nous les Stovengers n’aimons pas dire 20 mots là ou 19 suffisent), nous avons découvert sous Bèjofa, un vaste réseau de couloir souterrain, ou vivent des hommes lézard (comme le premier monstre que nous avions combattu), ceux-ci ayant la particularité de ne pas avoir besoin de lumière, mais il semble que d’autre être ayant eux besoin de lumière vivent également la dessous, puisque nous avons repérer toute une colonne circulant à l’aide de torche. Etant capable de réfléchir, et d’anticiper, je décidais de marquer chaque carrefour ou nous passions, indiquant d’où nous étions venu, et part ou nous nous dirigions. Après plusieurs heures d’exploration, nous avons croisé un énormes vers, qui semble creuser des tunnels, l’inquiétant, étant que celui que nous avons vu devait faire environs 30 mètres de long, mais que les tunnels que nous arpentions, semblaient avoir étaient creusé par des vers beaucoup plus gros.il est apparu que nous devrions remonter, et éventuellement revenir en plus grand nombre, ou alors de laisser les autorités s’occuper de ce problème (pour une fois qu’elle servirait a autre chose qu’a embêter d’honnêtes gens qui ne cherchent qu’a gagner honnêtement leur vie). Nous avons alors fait demi-tour, et c’est alors que je me suis aperçut, que certaine des marques que j’avais faites pour retrouver notre chemin, s’était effacée, et que j’étais le seul a en avoir fait, alors que tout le monde sais bien qu’il faut multiplier les marques en terrain inconnu (j’ai déjà dit que je n’étais pas aidé ?). Bref, nous avons erré un certain temps, avant de bien sûr, nous faire repérer par un fort groupe de reptile, je bousculais un peut les 2 autres, pour qu’ils avancent (ils étaient tous les 2 vert de trouille), dans le but de trouver un endroit stratégiquement défendable. Il faut reconnaître une chose a la chatte et au concave (ou vexe), la peur quand elle ne les paralyse pas, les fait avancer très vite. Cela nous permis de maintenir les lézards a distance, jusqu’à ce que nous trouvâmes une caverne, remplis de rocher en forme d’œuf de grande taille, avec au milieu de la caverne, une sorte d’autel surélevé, qui ferait une bonne position défensive, il fallut malgré tout aider les 2 boulets à grimper sur l’autel.
A peine étions nous en positions, que l’orthogonale disparut au sens propre du mots, tandis que la chatte, choisissait ce moment, pour m’avouer qu’elle n’avait aucune arme et de toute façon, ne s’aurait pas s’en servir, si je lui en prêtait une (j’ais pas déjà dis que je n’étais pas aider ? sinon, je le dis maintenant). Alors, j’invoquait CROM, et me lançais dans un grand massacre d’homme lézard, faisant voler une tête à chaque coup de ma hache (avec la hache millénaire de ma famille, j’en aurais fait voler 2, mais bon, c’est une bonne hache malgré tout), je tuais ainsi une bonne vingtaine de monstres, je dois pour être honnête, dire que devant mon exemple héroïque, Pavot Bleu s’empara …d’une de ses aiguille a chapeau (quand je dis que je ne suis pas aidé), afin de combattre les hommes lézard, cependant, cela ne les effraya guère, après peut être voulait elle les faire mourir de rire ?
Soudain, la lumière s’éteignit brutalement, et nous nous retrouvâmes dans le noir le plus complet, craignant une diablerie des hommes lézard, je frappais tout autour de moi, jusqu’à ce que soudainement, une trappe ne s’ouvre au-dessus de nous, et que n’y apparaisse le visage (et le reste) de l’orthogonale convexe (ou cave), qui nous informa que nous étions (grâce à lui qu’il a déclaré) hors de danger (je ne suis vraiment pas aider) et dans la tour d’un magicien, il resta cependant vague dans ses explications sur le pourquoi du comment, nous étions passé des sous-sols de Bèjofa, au sommet d’une tour de magicien (ce qui me fait fortement douter qu’il y soit pour quelques chose).
Il ne nous restait plus qu’a rentrer à notre résidence, afin d’attendre le retour des autres, et de les informer de mon combat héroïque, et du résultat de notre exploration.
Récit fait par Hagär Dunor, guerrier Stovengers, qui jure par l'honneur de son clan que ceci est l'entière et vrai vérité.